TESOL for Biolinguistic Sustainability: The Ecology of English as a Lingua Mundi
DOI :
https://doi.org/10.18806/tesl.v20i2.945Résumé
Cet article porte sur le rapport ecologie entre la diversite biologique et linguistique dans le contexte d'une approche a TESOL qui est renouvelable sur le plan biolinguistique. Puisant dans des sources pluridisciplinaires en bioecologie et anthropologie, l'auteur se penche sur l'impact qu'a l'etendue planetaire de l'anglais comme lingua mundi sur les transferts linguistiques et l'extinction. Les rapports entre les echanges linguistiques et biologiques sont consideres. Deux cas hypothetiques, relevant de l'experience ethnographique de 1'auteur dans 1'Himalaya en Inde, sont presentes pour demontrer la facon dont 1'introduction de deux discours en anglais peut entrafner des pertes biologiques, linguistiques et culturelles. Dans un cas, il s'agissait de 1'introduction d'un discours commercial sur la foresterie dans un village indien; dans l'autre, de 1'introduction d'un discours sur la psychiatrie dans une institution pedagogique bouddhiste pour refugies tibetains. Suit une description concise de cas actuels dans lesquels l'education en ALS est presentee comme modele renouvelable sur le plan biolinguistique. La conclusion traite de facons de promouvoir de la recherche et de l'enseignement TESOL plus responsables.Téléchargements
Publié-e
2003-06-26
Comment citer
MacPherson, S. . . . . . . . . . . (2003). TESOL for Biolinguistic Sustainability: The Ecology of English as a Lingua Mundi. TESL Canada Journal, 20(2), 01–22. https://doi.org/10.18806/tesl.v20i2.945
Numéro
Rubrique
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