Navigating the Contradictions: An ESL Teacher's Professional Self-Development in Collaborative Activity
DOI:
https://doi.org/10.18806/tesl.v35i2.1292Abstract
The study contributes to language teacher education research by emphasizing an English as a second language (ESL) teacher’s learning through critical activity, which includes my attempts to change my pedagogical practices to provide more equitable educational opportunities for ESL students in the mainstream content
classroom. Framed by Engeström’s (2001) Cultural Historical Activity Theory (CHAT), the study’s purpose was to examine my own professional self-development as an ESL teacher in learning how to initiate and sustain collaboration with a seventh-grade social studies teacher at a suburban middle school in the southeastern United States. Data collection included self-study methods, specifically interviews, collaborative planning sessions, reflective journals, field notes, and e-mail exchanges with a critical friend. The findings showed how I learned to navigate the misuse of planning time and the misrepresentation of collaborative teaching notions as the two major contradictions in collaboration to plan for and teach ESL students. By resolving the contradictions, I negotiated a division of labour and enacted my agency to assume the position of a content social studies teacher, which ultimately sustained the collaborative activity. These findings attend to the
complex factors that influence an ESL teacher’s professional self-development and agency in collaboration with a social studies teacher.
L’étude contribue aux recherches sur la formation des enseignantes et enseignants de langues en rehaussant l’apprentissage d’une enseignante d’anglais langue seconde (ESL) grâce à l’ajout d’une activité critique tenant compte des tentatives que j’ai faites pour modifier mes pratiques pédagogiques afin de fournir des opportunités éducatives plus équitables aux élèves d’anglais langue seconde au niveau de l’enseignement général. Encadrée par la théorie historico-culturelle de l’activité (CHAT) (2001) d’Engeström, l’étude avait pour objet l’examen de mon propre développement professionnel comme enseignante d’anglais langue seconde alors que j’entreprenais et maintenais une collaboration avec un professeur d’études sociales qui enseignait à des élèves de septième année dans une école moyenne de banlieue du sud-est des États-Unis. Les données de l’étude consistaient en des méthodes d’auto-évaluation, plus précisément des entrevues, des séances de planification concertée, des journaux de bord, des notes de terrain, et des échanges de courriels avec un ami critique. Les conclusions montrent comment j’ai appris à contourner le mauvais usage du temps de préparation et la représentation erronée des notions d’enseignement collaboratif, c’est-à-dire les deux principales contradictions présentes dans une collaboration visant à planifier et dispenser l’enseignement aux élèves d’anglais langue seconde. En résolvant les contradictions, j’ai négocié une répartition des tâches et adapté mon agentivité de manière à assumer le poste d’enseignante d’études sociales, ce qui a ultimement soutenu l’activité de collaboration. Ces conclusions traitent des facteurs complexes qui influent sur l’auto-développement professionnel et l’agentivité d’une enseignante d’anglais langue seconde en collaboration avec un professeur d’études sociales.