@article{Makinina_2018, title={Factors Impacting Recognition of False Collocations by Speakers of English as L1 and L2}, volume={34}, url={https://teslcanadajournal.ca/index.php/tesl/article/view/1278}, DOI={10.18806/tesl.v34i3.1278}, abstractNote={<p>Currently there is a general uncertainty about what makes collocations (i.e., fixed<br />word combinations with specific, not easily interpreted relations between their<br />components) hard for ESL learners to master, and about how to improve collocation<br />recognition and learning process. This study explored and designed a<br />comparative classification of external factors that affect adult English as L1 and<br />L2 speakers’ recognition of false (non-native-like) collocations. At Stage 1, the<br />reading-comprehension test and interview were administered to 5 participants:<br />emergent bilinguals (another language/English), an advanced bilingual (Russian/<br />English), and a monolingual speaker of English. The results provided insights into<br />the strategies and criteria participants employed to identify false collocations. At<br />Stage 2, more than 90 speakers of English as L1 and L2 took a reading-comprehension<br />test and posttest survey that gathered information on the differences and<br />similarities in the participants’ collocation recognition. The results suggested that<br />certain factors positively correlated with recognition of false collocations: English<br />as a predominant language of communication, the length of residence, vocabularylearning<br />strategies, and the focus of attention on sentence structure and the form<br />and meaning of word combinations. The implications concern potential focus<br />areas for pedagogical intervention in the ESL classroom.</p><p><br />Une incertitude généralisée plane quant à la raison pour laquelle la maitrise des<br />expressions figées (c.-à-d., des combinaisons de mots unis par des liens spécifiques<br />et difficiles à interpréter) est problématique pour les apprenants d’ALS, et quant<br />aux moyens d’améliorer la reconnaissance et l’apprentissage des expressions<br />figées. Nous avons conçu et ensuite exploré une classification comparative des<br />facteurs externes qui affectent la reconnaissance, par des adultes locuteurs natifs<br />d’anglais et des adultes dont l’anglais est la langue seconde, de fausses expressions<br />figées. La première étape a consisté en un test de compréhension à l’écrit et une<br />entrevue avec 5 participants: des bilingues émergents (autre langue/anglais), un<br />bilingue avancé (russe/anglais) et un locuteur unilingue d’anglais. Les résultats<br />offrent des informations sur les stratégies et les critères qu’emploient les participants<br />pour identifier de fausses expressions figées. Pendant la deuxième étape,<br />plus de 90 locuteurs natifs d’anglais et de locuteurs dont l’anglais est la langue<br />seconde ont complété un examen de compréhension de lecture et une enquête de<br />suivi portant sur les différences et les similarités dans la reconnaissance par les<br />participants des expressions figées. Les résultats laissent entrevoir une corrélation<br />positive entre certains facteurs et la reconnaissance de fausses expressions figées:<br />le fait d’avoir l’anglais comme langue dominante, la durée du séjour, les stratégies pour apprendre le vocabulaire, et l’attention portée à la structure des phrases ainsi qu’à la forme et au sens des combinaisons de mots. Cette recherche a des retombées quant aux domaines potentiels sur lesquels pourraient porter les interventions pédagogiques dans les cours d’anglais langue seconde.</p>}, number={3}, journal={TESL Canada Journal}, author={Makinina, Olga}, year={2018}, month={Mar.}, pages={165–191} }